Un peu de pilosité peut apparaître entre 2 mois et 1 an sur le pubis des filles ou des garçons, ou quelques longs poils (< 20) sur les grandes lèvres ou le scrotum, qui disparaissent en général avant 2 ans. La testostérone est normalement basse, de même que LH et FSH. […]
Puberté
Une petite fille dont les seins se développent (« thelarche »)
Peu après la naissance, les filles peuvent présenter un petit développement des seins, qui s’associe parfois à un minime écoulement laiteux ; les bourgeons mammaires apparus dès la 1re semaine grossissent jusqu’à 6-8 mm de diamètre, et peuvent atteindre quelques cm en 2 semaines. L’arbre ductal régresse ensuite avant 4 semaines, […]
Test à la kisspeptine dans les retards pubertaires
La prise en charge des jeunes atteints de retard pubertaire est entravée par la difficulté à prédire la progression de la puberté. Une étude a été réalisée auprès de 16 enfants dont la puberté était retardée.
Découvrir une insensibilité aux androgènes à la puberté
REPS 2020 – Découvrir une insensibilité aux androgènes à la puberté
Explorer et traiter une gynécomastie pubertaire
REPS 2020 – Explorer et traiter une gynécomastie pubertaire
Les pubertés en avance expliquées par la génétique
REPS 2020 – Les pubertés en avance expliquées par la génétique
Hormones sexuelles chez les filles au début de la puberté
Chez 269 filles, les concentrations d’estradiol (E2), estrone et testostérone ont été précisément mesurées par spectrométrie de masse avant, pendant et après le début des seins, survenant à un âge moyen de 9 ans. 6 mois avant Pendant 6 mois après Estradiol (pg/mL) 2,8 ± 3,3 3,4 ± 4,2 5,4 ± 7,2 Estrone (pg/mL) 4,0 ± 2,2 […]
Inhibiteurs de l’aromatase pour retard de la puberté
Les retards idiopathiques de la puberté sont classiquement traités, lorsqu’une indication de traitement est portée avec le patient et ses parents, par la testostérone, donnée mensuellement à dose croissante par voie intramusculaire. Ce traitement, s’il est bien mené, procure facilement une croissance de la verge, une pilosité pubienne, et un […]
Les causes tumorales des pubertés précoces centrales et des retards de puberté
Les pubertés précoces centrales correspondent à l’activation prématurée de la production pulsatile de GnRH hypothalamique. Cette activation prématurée peut résulter de lésions hypothalamiques (puberté précoce centrale organique d’origine tumorale ou d’autre origine), mais elle est le plus souvent d’origine inconnue (puberté précoce centrale idiopathique). Les principales étiologies de puberté précoce […]
Variations géographiques de la puberté prématurée en France
L’incidence de la puberté précoce semble augmenter. Est-ce une réalité ? Une étude transversale a analysé l’incidence nationale et ses tendances géographiques en se fiant aux remboursements de traitements enregistrés par l’Assurance Maladie chez les filles de moins de 9 ans et chez les garçons de moins de 10 ans. […]