184 enfants (72 filles) de 12,4 ± 2,1 ans ont été soumis à un test de stimulation de la GH primé ou non par les stéroïdes sexuels et suivis jusqu’à leur taille finale. Les retards constitutionnels de la puberté (CDGP) n’ont pas été traités (CDG P-) ou ont reçu de faibles doses de stéroïdes sexuels (CDGP+). La cohorte comprenait 34 CDG P-/P+, 12 CDG P+/P+, 51 GHD/P+, 29 CDG P-/P-, 2 CDGP+/P- et 56 GHD/P-. Chez les enfants péripubères, le priming améliore la précision du diagnostic pour les GHD idiopathiques.